"Si la gauche et la droite n'ont pas d'engagements forts sur les enjeux climatiques et écologiques, je n'exclus pas une candidature", a-t-il déclaré à la presse.

"Mais j'ai bon espoir de devoir éviter de le faire", a ajouté l'écologiste, précisant que sa présence à Poitiers "n'avait pas plus de signification que sa présence aux universités d'été à gauche ou à droite".

"Je leur ai tous dit qu'il n'y aurait aucun ralliement de ma part. Il se trouve que je n'avais pas discuté avec Ségolène Royal depuis un certain temps", a expliqué l'écologiste.

Il a par ailleurs indiqué qu'il allait "mettre sur la table des candidats un certain nombre de propositions élaborées par des experts".